Aux portes de Saint-Grégoire au nord de Rennes, la Ferme de Quincé se veut un lieu expressif, festif et agro-inclusif ouvert à la communauté Queer bretonne en pleine effervescence. A une heure de vol de Londres et Paris, l’aéroport de Rennes est un hub idéal pour les voyageurs désireux de découvrir une ville de taille moyenne différente de sa voisine : Nantes, en Loire Atlantique. Si la communauté gay y est plus réduite, elle n’en reste pas moins d’idées fascinante pour l’avenir de lieux alternatives. Rennes, future cité du voyage et de l’entrepreneuriat pour la communauté Queer ?

Quartier queer de Rennes

Quartier queer de Rennes

Quartier queer de Rennes

La Ferme de Quincé est donc un lieu inédit à visiter qui fusionne de nombreux éléments liés à l’agroécologie et au consommer autrement. La singularité est d’offrir notamment des activités atypiques : maraîchage, paniers bios, ateliers, restauration, bar, concert dans une ambiance QUEER.

La Ferme de Quincé

La ville de Rennes est connue pour être une destination gay friendly. On peut rapidement le découvrir avec l’aide du guide gay de Rennes. Le point de départ de cette expérimentation est d’abord un partenariat public-privé qui a bien fonctionné, soutenu par la ville de Rennes. Son premier déploiement a été choisi à titre expérimental aux abords d’une commune résidentielle de la périphérie rennaise : Saint-Grégoire avec de nombreuses contributions créatives et festives : marché de créatrices, Empty Pool et performances live et DJ set …

Ce qu’il faut savoir …

Maraîchage, cuisine, accueil et régie site, bar : nombreuses sont les activités d’agrément offertes à des bénévoles si des visiteurs veulent donner la main à la pâte.

Beaucoup de chemin a été entrepris depuis le lancement en 2020 par la ville de Rennes d’un appel à projet pour l’exploitation de la Ferme de Quincé qui comprend un corps de ferme (longère + grange) ainsi que 4 hectares de parcelles. L’espace va être amené à évoluer avec d’autres propositions associatives comme un projet de consignerie qui permettrait de prendre en compte les besoins des migrants nombreux à venir s’installer en Bretagne, en raison de l’effet des JO.