Deuxième ville gay de France, Toulouse est sans contredit une destination touristique gay friendly à ne pas manquer. Qui dit destination gay, dit aussi de nombreuses activités à faire. Dans ce Quoi faire à Toulouse, le Gay Voyageur vous invite à faire votre propose itinéraire selon vos intérêts. Des attraits touristiques à découvrir dans la principale ville rose de France. Suivez le guide et bienvenue à Toulouse!

Le Capitole :

Guide gay de Toulouse

Siège actuel de l’Hôtel de Ville et du Théâtre National du Capitole, ce bâtiment est remarquable de par ses 8 colonnes de marbre rose en façade, sa cour Henri IV, témoin de l’assassinat du Duc de Montmorency et la « Salle des illustres », inspirée de la Galerie Farnese de Rome où des moulures dorées rivalisent de beauté avec des cartouches peintes.

La basilique Saint-Sernin :

Destination gay de Toulouse

Cet édifice roman, considéré comme le plus vaste de l’Occident, surprend toujours par l’ampleur et la beauté de sa nef. On peut découvrir et admirer dans ce chef-d’oeuvre de briques du XIe siècle les chapiteaux romans sculptés, le tympan du XIe et XIIe siècle et visiter la crypte qui comprend un trésor de reliquaires, dont celui de Saint Saturnin, premier évêque de la ville de Toulouse et martyrisée en 250 de notre ère et à qui l’église est consacrée. On admirera également calices et ciboires du XIXe siècle.

Ensemble conventuel des Jacobins :

Visite gay de Toulouse

Fondé aux XIIIe et XIVe siècles par l’ordre des Dominicains, c’est un magnifique exemple de construction monastique. Entièrement réalisé en briques, il constitue un véritable joyau de l’art gothique languedocien. Dans l’église des Jacobins, on peut admirer l’incomparable palmier de 22 nervures soutenant le choeur polygonal.

La cathédrale Saint-Étienne :

Église fort déconcertante, car son édification s’est étendue sur cinq siècles, du XIIIe au XVIIe, au cours desquels les conceptions architecturales ont subi d’importantes transformations. On entre dans la cathédrale par la nef dite Raymondine, de style gothique méridional avec sa large nef unique. La deuxième partie de l’édifice, constituée d’un vaste choeur, a été construite dans le style du gothique du Nord afin de rivaliser avec les grandes cathédrales.

L’Hôtel Pierre d’Assézat :

Magnifique hôtel particulier du XVIe siècle. Pierre d’Assézat doit sa fortune au commerce du pastel, ce qui lui permet en 1555 de demander à Nicolas Bachelier de dresser les plans du palais suivant une conception architecturale identique à celle adoptée, dans le même temps, pour la cour carrée du Louvre : superposition des trois ordres d’architecture : dorique, ionique et corinthien.

La chapelle des Carmélites :

Le couvent des Carmélites, édifié au XVIe siècle, conserve sa chapelle remarquable par son décor : peintures murales par Jean-Pierre Rivalz au XVIIe siècle et par Jean-Baptiste Despax au XVIIIe siècle, évoquant les vertus du Carmel. Le reste du couvent a été détruit pendant la Révolution.

L’Amphithéâtre Romain de Purpan :

Construit vers le milieu du 1er siècle de notre ère en même temps que les autres édifices du sanctuaire rural auquel il appartenait, l’Amphithéâtre a été le cadre de jeux de gladiateurs jusqu’à l’extrême fin du IVe siècle.

Le Donjon du Capitole :

Construit au XVIe siècle, le Donjon est l’ancienne Tour des Archives ou Tour des Consistoires du temps où les Capitouls administraient la ville. Le Donjon fait partie des bâtiments qui ont survécu aux grandes percées entreprises par Haussmann au XIX e.

Notre-Dame du Taur :

L’église actuelle fut bâtie à partir du XIVe siècle, à l’emplacement de la sépulture de Saint Saturnin qui devînt Saint Sernin par altération du mot. Sa sépulture se trouve maintenant dans la Basilique du même nom vers laquelle on s’achemine en continuant sa promenade.

Notre-Dame de la Daurade :

La basilique Notre-Dame de la Daurade est l’héritière d’un temple païen et d’un monastère bénédictin. Devenue une église dédiée à la vierge, elle fut couverte d’une décoration composée de petits morceaux de mosaïques sur fond de feuille d’or qui fut à l’origine de son nom : « Deaurata » qui veut dire couverte d’or.

Musée des Augustins :

installé depuis 1793 dans le couvent des Augustins, le musée offre au visiteur le privilège de déambuler dans un des plus beaux ensembles monastiques des XIVe et XVe siècles. Doté d’un fonds unique au monde de sculptures romanes, le musée lapidaire abrite également les chefs-d’oeuvre de la sculpture gothique méridionale, ainsi qu’un choix d’oeuvres toulousaines renaissance et classiques de Bachelier, Arcis Lucas Maillol, Rodin, Camille Claudel.

Muséum de Toulouse :

Le visiteur est accueilli par la reconstitution d’un squelette de quetzalcoatlus, le plus grand reptile volant connu (plus de douze mètres d’envergure), ainsi que par un éléphant d’Asie naturalisé. Place à une déambulation progressive pour suivre l’histoire de la vie.

Musée des Abattoirs :

Alors que la rive gauche de la Garonne s’affirme comme véritable pôle culturel, un concept unique en France voit le jour dans les anciens abattoirs de Toulouse inaugurés en 1831 par Urbain Vitry, architecte de la ville.

Cité de l’Espace :

Explorez l’espace de manière inédite et percez tous les secrets de l’Univers. Avec le cinéma sur écran géant haut comme un immeuble de six étages et le Planétarium, plongez dans l’image et devenez le passager privilégié d’un voyage aux confins du cosmos : immersion totale garantie !

Quoi faire de gay sur Toulouse :

Pour terminer, le Gay Voyageur vous invite à découvrir le quartier gay de Toulouse, situé à quelques minutes de marche de la célèbre Place du Capitole, où se trouvent les meilleures adresses pour se divertir. De bons plans vous attendent, de bons restaurants et des boîtes de nuit pour bien terminer votre journée. Si vous êtes de passage dans la capitale française en juin, le rendez-vous de la Gay Pride de Toulouse est à mettre dans votre calendrier! L’événement à ne pas manquer de l’année.

Crédits photos : Chantrybee – Licence : CC BY