À la recherche d’îles peu touristiques dans les Cyclades ? L’idée séduit de plus en plus de voyageurs lassés par l’affluence. Si Santorin ou Mykonos viennent spontanément à l’esprit, l’archipel cache aussi des îles secrètes où calme, tranquillité et beauté naturelle sont encore préservés. Alors, quelle est l’île des Cyclades la moins touristique mais gay friendly? La question invite à découvrir une facette authentique, loin des foules, pour savourer un séjour empreint de simplicité.
Pourquoi tant de voyageurs cherchent-ils des îles secrètes ?

Pourquoi tant de voyageurs cherchent-ils des îles secrètes ?
Beaucoup imaginent les Cyclades comme une succession de villages blancs surplombant la mer turquoise et de soirées festives. Pourtant, derrière ces clichés se cachent des îles préservées du tourisme, idéales pour les amateurs de discrétion et d’évasion. Ces coins confidentiels permettent un véritable retour aux sources, mêlant tradition rurale, hospitalité sincère et paysages restés intacts tout en étant gay friendly.
La surmédiatisation des destinations phares explique ce nouvel engouement. Quand Santorin et Mykonos accueillent plusieurs milliers de visiteurs par jour, beaucoup aspirent à partir ailleurs. Quitter la foule, c’est renouer avec des plaisirs simples : marcher seul sur un sentier sauvage, savourer un café frappé dans un village pittoresque ou écouter le ressac sans autre bruit alentour.
Pour ceux qui rêvent d’un voyage aux Cyclades loin des sentiers battus, il faut s’aventurer hors des circuits classiques proposés par les agences. Entre criques désertes, chemins de randonnée et maisons blanches accrochées à flanc de colline, certaines petites îles font revivre une époque où le tourisme de masse n’avait pas encore bouleversé l’équilibre local.
Anafi, la grande oubliée des Cyclades

Anafi, la grande oubliée des Cyclades
Anafi revient souvent parmi les réponses pour qui cherche la Cyclade la moins touristique. À seulement quelques milles de Santorin, elle reste incroyablement paisible. Les ferrys y accostent rarement, préférant desservir des ports plus connus. Résultat : Anafi demeure un secret bien gardé, propice à l’évasion.
Ici, aucun hôtel de luxe ni file d’attente devant les sites emblématiques. À la place, on profite d’une ambiance de détente et de nature brute : plages sauvages, impression de solitude même en plein été, et cette sensation de découverte inédite à chaque détour.
Le principal village, Chora, domine la mer avec son architecture typique. Ruelle sinueuse, fleurs débordant des pots en terre cuite, terrasses baignées de soleil… Tout respire la lenteur ! En flânant dans les venelles cimentées, on croise des sourires francs, échange avec les anciens et capte la magie des couleurs sous le ciel éclatant.
Anafi attire depuis longtemps les amoureux de randonnée et de grands espaces silencieux. Plus de la moitié de l’île est recouverte de collines traversées de chemins muletiers. Plusieurs pistes relient plages et monastères reculés, passant oliveraies et falaises vertigineuses.
Le sentier vers le monastère de Zoodochos Pigi, à la pointe sud, reste incontournable. Sur le chemin, seuls quelques chèvres croisées rappellent la présence humaine. Chaque pas porte la promesse d’une immersion totale, entre senteurs du maquis et chants d’oiseaux invisibles.
Iraklia, Schinoussa et Donoussa : ne passez pas à côté !

Iraklia, Schinoussa et Donoussa : ne passez pas à côté !
Évidemment, Anafi n’est pas seule à offrir cette parenthèse. Iraklia, Schinoussa et Donoussa conservent elles aussi une âme intacte et garantissent des séjours loin des projecteurs. Leur ambiance évoque celle des Cyclades antiques : villages miniatures, vie paisible, absence totale de complexes balnéaires ou de bars bruyants.
Les amateurs de baignades en eaux limpides découvrent ici des criques vierges, tandis que les reliefs doux appellent à la marche, à la découverte de grottes marines ou à l’exploration de plages abritées. Dans les tavernes, poissons grillés, fromage local et miel doré racontent la générosité des Cyclades gay friendly et authentiques.
Au fil des ans, la réputation de ces îles secrètes s’est accrue auprès des initiés. Leur accessibilité limitée et leur volonté de préserver une affluence mesurée contribuent toutefois à maintenir leur harmonie fragile. Cela crée ce sentiment précieux d’être reçu comme un invité et non un simple touriste.